La souffrance du jaloux est décrite dans un passage du livre I de la troisième partie du Grand Cyrus (1649-1653) des Scudéry :
Je sais bien encore, que n’être point aimé est un grand mal : mais c’en est encore un plus grand, de croire non seulement n’être point aimé : mais de s’imaginer que la personne que l’on aime en aime cent mille autres au lieu d’un. La mort même, toute effroyable qu’elle est en la personne aimée, ne tourmente pas tant que la jalousie Lire la suite …
( p. 1690 et suiv.)
Voir aussi « mon plus grand ennemi se rencontre en moi-même ».