« D’où vient qu’un certain Grec dit que sa tête passe Pour un sable mouvant » Dépit amoureux, IV, 2 (v. 1253-1254)
La comparaison entre la femme et le sable mouvant figurait dans Les Folies de Cardenio (1630), comédie de Pichou :
La femme est un roseau qui branle au premier vent L’image d’une mer et d’un sable mouvant. ( II, 2)
Le moteur de recherche fonctionne par co-occurence, par exemple, la saisie femmes superstition, affichera uniquement les fiches qui comportent les deux termes, et non toutes les pages qui comportent chacun des termes.