Quand je l’aurai un peu usé

« J’ai une tendresse pour vous qui ne saurait souffrir que je vous laisse sans secours. – Tu en seras récompensé, je t’assure; et je te promets cet habit-ci, quand je l’aurai un peu usé. »
Les Fourberies de Scapin, III, 2

La proposition de Géronte constitue une plaisanterie de lésine, dont Molière avait déjà proposé un précédent dans L’Avare (« gâter vos habits »).

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