Le prétexte de l’honneur était invoqué, dans la septième des Provinciales (1657) de Pascal, pour justifier la participation à un duel, selon un raisonnement semblable :
Mais, puisqu’il faut vous répondre juste, notre père Layman le fera pour moi, en permettant le duel en mots propres, pourvu qu’on dirige son intention à l’accepter seulement pour conserver son honneur ou sa fortune. C’est au liv. III, page 3, c. iii, n. 2 et 3 : « Si un soldat à l’armée, ou un gentilhomme à la cour, se trouve en état de perdre son honneur ou sa fortune, s’il n’accepte un duel, je ne vois pas que l’on puisse condamner celui qui le reçoit pour se défendre. »
( n. p.)