De même que « la volonté du Ciel soit faite », la formule est consonante avec un passage du Pater, qui invite à « pardonner l’offense » tel qu’on le formule en français au XVIIe siècle :
Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensé.
(L’Office de la Sainte Messe en français, 1697, « Prières avant la Sainte Messe », p. 1)