Le lieu commun selon lequel le dévot ne pardonne rien est énoncé dans une épigramme contemporaine du chevalier d’Aceilly (Nouveau Recueil de diverses poésies du Chevalier d’Aceilly, 1671) :
Contre un faux dévot
Un dévot, je ne sais pourquoi,
A quelque chose contre moi
Qui jamais n’offensai personne.
Je suis mal à ce que je vois
Un dévot jamais ne pardonne.
( p. 109)