Outre son apparition dans le De occulta philosophia de Corneille Agrippa (p. 276, voir « parce que le nombre… »), la locution « terque quaterque » est très souvent employée par les pédants de la comédie érudite italienne, qui détournent le vers de Virgile (Enéide, I, 94) :
O ter quaterque beatus
(Giambattista Della Porta, L’Olimpia, 1597, II, 1)
O terque quaterque beatum
(Luigi Sforza degli Oddi, Prigione d’amore, 1596, I, 4)
O terque quaterque infelice Prudenzio!
(Francesco Belo, El Pedante, 1538, I, 4)
O terque quaterque stupido insensato!
(Cristoforo Castelletti, Stravaganze d’amore, 1587, V, 13).
On la trouve, dans son équivalent en français, au chapitre IV du Tiers Livre de Rabelais :
O beats trois et quatre fois.
(p. 47)