La même plaisanterie avait déjà été placée dans les propos d’un mari jaloux, à la scène II de la comédie Le Jaloux endormi (achevé d’imprimer : 13 juin 1662) de Boursault :
Sachez que de tout temps j’appréhende le blâme;
Qu’au gré de mon désir je gouverne ma femme;
Que sans en murmurer il faut suivre ma loi;
Et que quand je vous pris ce ne fut que pour moi.
(éd. du Théâtre de 1746, p. 176)