Ce scenario de commedia dell’arte rédigé sous forme de comédie imprimée a servi de base à la composition de L’Etourdi.
Quelques rencontres précises entre les deux textes sont signalées ci-dessous :
L’Etourdi
un ton un peu trop haut
retirez-vous
c’est ainsi que tu me rends service
voilà mon bonheur hors d’atteinte
je dois vous annoncer une nouvelle
arrêtez-vous, Léandre
l’écriteau que voici
des enfants dont nous soyons les pères
Dépit amoureux
qui frappe ?
Monsieur de Pourceaugnac
la sincérité de mon pays
Pour une analyse détaillée des rapports entre L’Etourdi et cette comédie, voir C. Bourqui, Les Sources de Molière, Paris, SEDES, 1999, p. 69-73.