Le texte qui accompagne ce jeu de scène est formulé en des termes proches d’un passage de la scène IV, 4 de l’Aulularia de Plaute (1).
Ce célèbre passage, vanté dans une lettre de Vincent Voiture (Oeuvres, 1650) (3), avait inspiré un jeu de scène de la comédie de L’Avare dupé (1662) de Samuel Chapuzeau (2)