De même que « pardonne-lui », la formule est consonante avec un passage du Pater, tel qu’on le formule en français au XVIIe siècle :
Que votre volonté soit faite dans la terre comme elle l’est dans le Ciel.
(L’Office de la Sainte Messe en français, 1697, « Prières avant la Sainte Messe », p. 1)
Mon Père, si vous voulez, éloignez ce calice de moi ; néanmoins que ce ne soit pas ma volonté qui se fasse, mais la vôtre.
(Evangile selon Saint Luc, 24, 36-37, Le Nouveau Testament de Notre Seigneur Jésus Christ, trad. Lemaistre de Sacy, 1667, p. 308)