Premier intermède
Scène 1
Scène 2
ACTE I
Argument
des courses de chars et semblables magnificences
Scène 1
une qualité que j’aime en un monarque
aux nobles actions elle pousse les coeurs
de l’amour un temps j’ai bravé la puissance
un premier coup d’oeil allume en nous les flammes
un coeur préoccupé résiste puissamment
il a plus de bon sens que tel qui rit de lui
Scène 2
ce sanglier, qui par nos gens chassé
en fuyant, sans se faire prier
son humeur de tigresse
qui déclare la guerre au conjugal lien
Scène 3
ce péril dont tous deux nous avons sauvé vos charmes
d’un objet odieux je sais que tout déplaît
Scène 4
j’ai résolu de prendre un chemin tout contraire
m’inspire pour la vaincre une adresse nouvelle
Deuxième intermède
Scène 1
une conversation avec ces arbres et ces rochers
Scène 2
ACTE II
Scène 1
que dois-je, après tout, à leur magnificence ?
jusques à quand ce coeur veut-il s’effaroucher ?
vivre sans aimer n’est pas proprement vivre
il est nécessaire d’aimer pour vivre heureusement
pour devenir un jour nos tyrans
une honte horrible à de telles faiblesses
toute la terre reconnaît sa puissance
les dieux mêmes sont assujettis à son empire
les Dieux ne sont point faits comme se les fait le vulgaire
Scène 2
Scène 4
la puissance que le Ciel me donne sur toi
sois complaisante aux civilités qu’on te rend
que dites-vous de ce jeune prince?
Troisième intermède
Scène 1
Scène 2
ACTE III
Scène 1
il sort vainqueur de cette course
Scène 2
j’ai pensé plus de vingt fois oublier ma résolution
les femmes sont des animaux d’un naturel bizarre
Scène 4
on est toujours bien aise d’être aimée
Quatrième intermède
Scène 1
Scène 2
ACTE IV
Scène 1
un moment a dissipé toutes ces résolutions
je voudrais savoir si vous condamnerez ou non
Scène 4
votre coeur avait eu la bonté de s’expliquer en ma faveur
Scène 5
il est aisé de voir que vous aimez un peu
Scène 6
ce poison qui me court par toutes les veines
ACTE V
Scène 2