La bonté souveraine

« J’étais, à dire vrai, dans une grande peine,
Et je bénis du Ciel la bonté souveraine,
Qui fait qu’à point nommé je vous rencontre ainsi »
L’Ecole des femmes, V, 2 (v. 1372-1374)

Une formulation semblable est utilisée dans la satire VI de Boileau (« Les embarras de Paris »), publiée sous forme imprimée en 1666 :

Encor je bénirais la bonté souveraine,
Si le Ciel à ces maux avait borné ma peine »
( p. 59)

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