Le monologue de Polydore trouve son origine dans les propos de Pandolfo, qui closent la scène IV, 2 de L’interesse :
In fatti queste sono le doglie, le strette, le angoscie della morte; questo pover’huomo è sì traffitto e fuori di se ch’io glie n’ho gran compassione, perchè elle son cose che possonno accadere ad ogn’uno.
(p. 40)
La scène qui contient ce passage est également mise à contribution pour les scènes II, 5 (« je crains cent accidents ») et III, 3 (« ô juste Ciel, je tremble ») du Dépit amoureux.