Le mot est à la mode.
Il fait l’objet d’un commentaire de Charles Sorel dans son traité De la connaissance des bons livres (1671) :
Pour l’évaporé qui est assez agréable, il est à l’imitation d’écervelé et d’éventé; le premier signifie n’avoir point de cervelle; éventé veut dire qu’on a pris le vent ou l’essor.
( p. 361)