La même idée est présente chez Francesco di Poggio, Psiche:
Figlia, cara mia Figlia,
Dimmi, perchè contrasti il tuo gioire ?
Non può, senza tuo danno, Amor languire.
E se languisce Amore,
Mai non sarà giocondo,
Ma sempre lagrimoso, il Cielo, e’l Mondo.
(V, 8, texte procuré par Cristina Sara, dans « Psyché di Molière-Corneille e le sue fonti italiane : Francesco di Poggio e Diamante Gabrielli » , Franco-Italica, 1, 1992, pp. 81-99)
Les qualités pacificatrices de l’Amour sont imitées de celles que Lucrèce confère à Vénus au début du De natura rerum, évoquées
– dans le prologue: « Venez nous donner de beaux jours »
– en III, 4: « Source de tous les biens inépuisable et pure ».