Le poème de Lucrèce apparaît souvent comme référence implicite ou explicite aux propos de certains personnages des comédies de Molière.
Une traduction française en avait été procurée par Michel de Marolles en 1650 (Le Poète Lucrèce, latin et français (Paris, T. Quinet) (rééd. en 1659).
L’Amour médecin
la peur de mourir
Le Misanthrope
Ils comptent les défauts pour des perfections
Le Tartuffe
on nous fait tant de peur
vous vous emportez
Psyché
De vos larmes, Seigneur, la source m’est bien chère
Source de tous les biens inépuisable et pure
D’un Dieu de douceurs et de joie
Les Femmes savantes
mon âme et mon corps marchent de compagnie
Le Malade imaginaire
la nature d’elle-même
ne donnez point tant à votre imagination
le courroux de Monsieur Purgon
crever un oeil
Don Juan ou le Festin de pierre
si tout cela s’est bâti de lui-même
la machine de l’homme