La plaisanterie figurait
– dans la traduction française (1643) du Buscon de Quevedo (1)
– à la scène 2 de l’acte I de Don Bertrand de Cigaral (1652) de Thomas Corneille (2)
(1)
Je suis accoutumé à manger comme un chancre, ou pour mieux dire, comme un chantre, et vous me faites garder des vigiles, qui ne sont pas marquées au calendrier romain.
( p. 229)
(2)
GUZMAN
Il fait garder chez lui si souvent l’abstinence
Qu’on y jeûne toujours deux carêmes d’avance.
[…]
(I, 2, p. 166)