L’antagonisme entre père avare et fils prodigue est évoqué dans la conversation « De l’avarice » (Conversations morales , 1682) de Madeleine de Scudéry :
[…] Les pères avares avec excès […] étouffent dans le coeur de leurs enfants une partie de la tendresse qu’ils leur doivent […] les enfants prodigues […] voudraient que ceux à qui ils doivent la vie se refusassent toutes choses pour fournir à leurs dépenses superflues, et qu’ils s’enterrassent tous vivants.
( p. 715-716)