L’expression est fréquemment attestée dans la comédie des années 1630-1650.
On la revèle par exemple dans :
– L’Absent chez soi (1643) de D’Ouville :
Imite cet ingrat
Comme lui cours au change
( II, 6)
– La Suivante (1637) de Pierre Corneille :
Ce sont pour l’apaiser les chemins les plus courts :
Sinon, faites état qu’il va courir au change
( I, 8)