La petite nouvelle raconte plusieurs épisodes de la vie du capitaine de la Sablonnière qui devient fort avaricieux après la mort de ses parents, qui le place sous la conduite d’un oncle et d’une tante dont il peut espérer un jour une grande fortune.
Cette histoire, publiée dans le recueil le plus important de productions de la littérature des salons, témoigne de l’actualité du thème de l’avarice dans la société mondaine vers 1660.
En reprenant les lieux communs de la Littérature facétieuse de la lésine, la petite nouvelle crée un fond d’anecdotes dont on retrouve quelques traces dans la comédie de l’Avare:
– « Employer de l’argent à des perruques »
– « Que nous servira d’avoir du bien »
– « Quelle figure »
– « Une propreté fort simple »