Le terme est utilisé dans L’Imitation de Jésus-Christ (1656) de Pierre Corneille pour désigner un attribut de la grâce :
Quelle que soit l’ ardeur des voeux,
C’ est quand je veux et qui je veux
Que console, où je veux, ma grâce toute pure ;
Et de ses plus charmants attraits
Mon vouloir souverain est la seule mesure,
Et non la ferveur des souhaits.
(III, 7)