C’en est fait

« – Non, non, ne croyez pas, Madame,
Que je revienne encor vous parler de ma flamme.
C’en est fait; je me veux guérir, et connais bien
Ce que de votre coeur a possédé le mien. »
Dépit amoureux, IV, 3 (v. 1293-1296)

La scène qui débute par cette réplique constitue un dialogue de « sdegno e pace », semblable à ceux que développaient les personnages d’amoureux de la commedia dell’arte.

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