La « mine froide » apparait dans une chanson grivoise du Parnasse des poètes satyriques (1622) :
Qui vous voit la mine si froide
Ne vous croit point le cul si chaud
(« Chanson en dialogue », p. 18)
Ainsi que dans une épigramme de Théophile :
Votre mine froide et austère
Aussitôt me fait souvenir
D’un qui aura pris un clystère
Et qui ne le peut retenir.
(Le Parnasse satyrique du sieur Théophile, 1660, p. 211)