Le nom est fréquemment porté par des vieillards de la comédie italienne.
Par exemple, dans
– L’intrico (1606) de Paolo Veraldo, comédie imprimée issue de la commedia dell’arte : « Anselmo, vecchio innamorato ».
On le retrouve ainsi dans les comédies françaises inspirées du modèle italien :
– Aimer sans savoir qui (1646) de D’Ouville, modèle de la comédie à l’italienne en France (ainsi que dans sa source, L’Hortensio (1597) de Piccolomini : « Anselmo Paparoni, vecchio »)
– La Soeur (1647) de Rotrou.