Dans son sermon « Sur l’état de mariage », Bourdaloue évoque le problème des enfants dissipateurs :
Mais ce que vous savez encore mieux parce qu’il est encore plus commun, c’est ce qu’il en coûte à des pères et à des mères pour élever des enfants indociles […] pour ramener à leur devoir des enfants égarés et abandonnés à leurs passions des enfants déréglés et débauchés, prodigues et dissipateurs. […] prodigues et dissipateurs, qui, pour fournir à des dépenses excessives, empruntent de toutes parts et à toutes conditions, sans être en peine de l’avenir et sans prévoir les funestes suites.
(Oeuvres, éd. de 1833, t. V, p. 75-76)