La condamnation des blondins sans le sou sera reprise par un personnage de la comédie L’Avocat sans pratique (1671) de Rosimond :
Cela vaut mieux cent fois que tous ces damoiseaux
Qui n’ont point d’autres soins que de faire les beaux,
Qui par leurs vanités ménagent mal leur bourse,
Et se trouvent enfin sans aucune ressource.(sc. III, p. 6)