Le même précepte était formulé dans L’Art de peinture traduit en français (1668) de Dufresnoy :
Cela posé il faudra choisir un sujet beau et noble, qui étant de soi-même capable de toutes les grâces et de tous les charmes que peuvent recevoir les couleurs et l’élégance du dessein, donne ensuite à l’art parfait et consommé un beau champ et une matière ample de montrer tout ce qu’il peut, et de faire voir quelque chose de fin et de judicieux.
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