L’idée que « le mariage n’est pas un badinage » constituait un point essentiel du sermon « Sur l’état de mariage » de Bourdaloue :
Sacramentum hoc magnum. Oui, mes frères, ce sacrement est grand.
[..]
Il n’est donc permis de s’y engager qu’avec une intention pure et sainte […] Il n’est donc permis d’en user que dans la vue de Dieu et pour une fin digne de Dieu; et quiconque manque à ces devoirs commet une offense qui tient de la nature du sacrilège, parce qu’il profane un sacrement.
(Oeuvres complètes, 1886, t. II, p. 14-27)