La plaisanterie figure également dans les notes de Biancolelli à propos du spectacle du « Maitre-valet / Servo padrone » donné par les comédiens italiens de Paris dans les années 1660 :
J’arrive de nuit et je me plains d’avoir le derrière écorché pour avoir couru la poste
(éd. D. Gambelli, Arlecchino a Parigi. Lo scenario di Domenico Biancolelli, Rome, Bulzoni, 1993, t. II, p. 381).
Le spectacle italien constitue une version concurrente de la comédie Jodelet ou le Maître valet (1645) de Scarron, dont la scène inaugurale sert de modèle à l’échange de Gros-René et Lélie. L’évocation de la blessure de selle ne figure toutefois pas chez Scarron.