Cette explication constitue à nouveau une réponse à l’une des questions d’amour en vogue dans les milieux mondains :
Si les raccommodements en amour sont plus doux que les conclusions ?
R. […] enfin, n’était les conclusions, les raccommodements [sont] les plus grands biens de l’amour.
(Charles Jaulnay, Questions d’amour ou Conversations galantes, dédiées aux belles, Paris, Loyson, 1671, p. 115-116)
Si l’on aime davantage après un raccommodement, et pourquoi ?
R. L’on a tant de joie d’être raccommodé, l’on sait tant de gré à l’objet aimé de nous avoir pardonné nos manquements, la manière de revenir charme si fort la personne offensée […] que tout cela réveille la tendresse […].
(Ibid., p. 116)