L’image avait été utilisée dans le roman Carmente (1666) de Mlle Desjardins :
Ses cheveux en désordre, et dont une partie échappant au linge qui les retenait et lui flottait à gros bouillons fur les épaules, relevaient par leur noirceur l’éclat de la peau qu’ils ombrageaient. Son air qui était doux naturellement, avait alors je ne sais quoi de si touchant, et de si amoureux que le coeur d’un barbare n’aurait pu résister à sa langueur.
(éd. des Oeuvres de 1720, p. 234)