Dans sa nouvelles « Mascarade d’amour ou La Nouvelle des Précieuses Prudes » (Oeuvres diverses, 1663), Charles Sorel raconte l’histoire d’une société de prudes qui se laissent malgré elles gagner par l’amour :
Vous en tenez maintenant, Précieuses à la mode ; vous pensiez qu’il n’y eût rien de si précieux au monde que l’observation de vos fâcheuses maximes, mais sachez qu’il n’y a rien de si précieux que l’amour.
( p. 76)