On trouvait un tel jeu sur les deux plans de la scène, et la taille de deux troupes de danseurs, l’une constituée de jeunes gens et d’enfants, dans le finale du ballet Les Noces de Pélée et de Thétis (1654) :
…il se fait un grand Ballet à Terre tandis que les petits Amours en font un autre au plus haut du Ciel.
Amours : Monsieur, Comte de Guiche, marquis de Villeroy, petit comte Saint-Aignan, petit Rassent, Laleu, Bonart et Aubry.
( III, sc. der.)