Si vous n’abrégez ce récit

« Si vous n’abrégez ce récit, nous en voilà pour jusqu’à demain. Laissez-le-moi finir en deux mots. ».
Les Fourberies de Scapin, I, 2

Les mêmes termes sont utilisés par le valet Ergaste, pour inviter son maître Lélie à abréger son récit, dans La Soeur de Rotrou :

Si de ce long récit vous n’abrégez le cours
Le jour achèvera plus tôt que ce discours.
Laissez-le-moi finir avec une parole.
(I, 4, p. 21)

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