Séparant le bon d’avec son apparence

« Ce monarque dont l’âme aux grandes qualités
Joint un goût délicat des savantes beautés,
Qui séparant le bon d’avec son apparence
Décide sans erreur, et loue avec prudence;
LOUIS, le grand LOUIS, dont l’esprit souverain
Ne dit rien au hasard, et voit tout d’un oeil sain, »
La Gloire du Val-de-Grâce, v. 293-298

Dans Le Tartuffe, le roi avait été présenté comme « un prince dont les yeux se font jour dans les coeurs ».

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