L’évocation des draps chauffés est une image érotique, qu’on retrouve, par exemple, dans Le Parnasse des poètes satyriques (1622) :
[…]Délivre-moi, Seigneur,
De celle-là qui dit qu’elle n’échauffe pas
Si elle est seule au lit, qu’elle y meurt, qu’elle y glace,
Qui veut avoir quelqu’un pour échauffer sa place,
Qui ne craint nullement que l’on use les draps.
( p. 29)