Sécher même les draps me semblait ridicule

« Je me couchais sans feu dans le fort de l’hiver,
Sécher même les draps me semblait ridicule; »
Le Cocu imaginaire, sc. II (v. 84-85)

L’évocation des draps chauffés est une image érotique, qu’on retrouve, par exemple, dans Le Parnasse des poètes satyriques (1622) :

[…]Délivre-moi, Seigneur,
De celle-là qui dit qu’elle n’échauffe pas
Si elle est seule au lit, qu’elle y meurt, qu’elle y glace,
Qui veut avoir quelqu’un pour échauffer sa place,
Qui ne craint nullement que l’on use les draps.
( p. 29)

Le moteur de recherche fonctionne par co-occurence, par exemple, la saisie femmes superstition, affichera uniquement les fiches qui comportent les deux termes, et non toutes les pages qui comportent chacun des termes.