La question de l’aveu féminin et des difficultés qui lui sont attachées circule dans la littérature galante contemporaine. Il est abordé par Molière
– plus haut dans Le Misanthrope :
– * « savoir que vous êtes aimé »
– * « il peut bien se flatter du bonheur d’être aimé »
– dans Les Précieuses ridicules :
– * « cet aveu qui fait tant de peine ».