Dans un sonnet consacré à « La Belle Egyptienne », Georges de Scudéry évoque le talent pour prédire l’avenir comme un trait marquant du personnage d’origine cervantine (« Novela de la gitanilla ») :
Sorcière sans démons, qui prédis l’avenir;
Qui regardant la main, nous vient entretenir;
Et qui charmes nos sens d’une aimable imposture.
(Poésies diverses, 1649, p. 59)