Dans la conversation XX de son Esprit de cour, ou les Conversations galantes (1662), intitulée « Du festin », René Bary s’était précédemment servi de la comparaison :
L’esprit trouve son compte avec eux, il se nourrit comme d’un aliment du suc de leur entretien ; et l’on peut dire à leur avantage, que s’ils reçoivent des repas de bouche, ils donnent des repas d’oreille.
( p. 126)(indication aimablement fournie par Arnauld Wydler)