Quel abominable maître me vois-je obligé de servir

« Ah, quel abominable maître me vois-je obligé de servir! »
Don Juan ou le Festin de pierre, I, 3

Les Notes de Biancolelli sur le Festin de pierre révèlent que, dans le spectacle joué par la Comédie italienne de Paris, la scène équivalente se terminait d’une manière similaire :

J’y reste avec Don Juan qui me raconte qu’il veut aller chez Dona Anna la maîtresse d’Octave, je m’y oppose et lui parle du Ciel, il me donne un soufflet, je lui dis alors : « Allons donc, puisqu’il le faut ».

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