Le motif de la suivante qui accepterait volontiers le mariage que sa maîtresse refuse, sera repris, cinq ans plus tard, par Montfleury dans sa comédie du Mari sans femme (1666) :
Ah, que si j’étais belle et bien faite comme elle,
Et qu’avec moi quelqu’un voulût se marier,
Je me garderais bien de me faire prier.
(Les Oeuvres de Montfleury, Paris, David, 1705, I, 3, t. II, p. 233).
(voir également « ce n’est pas pour des prunes » et « voir cajoler sa femme et n’en témoigner rien »)