les honnêtes gens conservent la mémoire de ses belles actions et ils considèrent son procédé, ou comme une marque de son mépris, ou comme un effet de sa retenue. Quand il n’a pas encore donné des preuves de son courage, il ne doit pas appréhender non plus que le pardon le diffame : on doit révérer les édits et la qualité de respectueux est préférable à la qualité d’infractaire. ( p. 65).