L’auteur des remarques qui font suite à L’Art de peinture traduit en français (1668) de Dufresnoy insistait également sur ce point :
Traitez donc les sujets de vos tableaux avec toute la fidélité possible, et vous servez hardiment de vos licences, pourvu qu’elles soient ingénieuses, et non pas immodérées et extravagantes.
( p.86)