La Mothe le Vayer, dans son « petit traité » « De l’amitié » (Opuscules ou petits traités, 1643) écrivait :
En vérité, si c’est le propre de Dieu seul d’être scrutateur des coeurs et de pénétrer jusque dans l’intérieur, je ne vois pas quelle certitude nous pouvons avoir les uns des autres, pour nous assurer d’une affection réciproque.
(Oeuvres, 1757, II, 2, p. 133)
La suite immédiate du texte fait écho aux vers 1182-1184 (« elle croit aimer parfois qu’il n’en est rien »).