Dans L’Avare, Harpagon avait également invité son fils à « déférer aux pères ».
« J’ai, Mariane, en vous,
Reconnu, de tout temps, un esprit assez doux;
Et de tout temps aussi vous m’avez été chère.
– Je suis fort redevable à cet amour de père.
– C’est fort bien dit, ma fille; et pour le mériter,
Vous devez n’avoir soin que de me contenter.
– C’est où je mets aussi ma gloire la plus haute. »
Le Tartuffe, II, 1 (v. 429-436)
Dans L’Avare, Harpagon avait également invité son fils à « déférer aux pères ».
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