Ces pratiques sont évoquées dans Le Portrait de la coquette (1659) :
[certaines coquettes] passent les journées toutes entières devant leur miroir, à s’attacher des rubans à leurs cheveux, et à se mettre des mouches sur le visage.
(Le Portrait de la coquette, ou la Lettre d’Aristandre à Timagène, Paris, Sercy, 1659, p. 187)