Mouches et rubans

« Vos désirs lui seront complaisants,
Jusques à lui laisser et mouches et rubans ? »
L’Ecole des maris, I, 2 (v. 221-222)

Ces pratiques sont évoquées dans Le Portrait de la coquette (1659) :

[certaines coquettes] passent les journées toutes entières devant leur miroir, à s’attacher des rubans à leurs cheveux, et à se mettre des mouches sur le visage.
(Le Portrait de la coquette, ou la Lettre d’Aristandre à Timagène, Paris, Sercy, 1659, p. 187)

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