Le mépris du bien avait été exprimé dans une épigramme recueillie au sein des Oeuvres galantes (1663) de Cotin :
MEPRIS DES RICHESSES
Je me soumets au ciel et je n’accuse pas
La fortune et son injustice,
J’aime la pauvreté du généreux Fabrice
Plus que les trésors de Midas.
( p. 413)