Mépris du bien

« […] le mépris du bien et des grandeurs frivoles,
Ne doit point éclater dans vos seules paroles. »
Les Femmes savantes, V, 1 (v. 1469-1470)

Le mépris du bien avait été exprimé dans une épigramme recueillie au sein des Oeuvres galantes (1663) de Cotin :

MEPRIS DES RICHESSES
Je me soumets au ciel et je n’accuse pas
La fortune et son injustice,
J’aime la pauvreté du généreux Fabrice
Plus que les trésors de Midas.
( p. 413)

Le moteur de recherche fonctionne par co-occurence, par exemple, la saisie femmes superstition, affichera uniquement les fiches qui comportent les deux termes, et non toutes les pages qui comportent chacun des termes.