Mélicerte, bergère

Le nom de Mélicerte, qui est celui d’une des nymphes, avait été repris, avant Molière, entre autres dans

 

– le roman Tarsis et Zélie (1665) de Le Vayer de Boutigny

 

– la quatrième partie du Polexandre (1636) de Gomberville

 

Célie, ou la comtesse Mélicerte : nouvelle amoureuse, où se voit les aventures d’Artaxandre, de Philadelphe, et de Méliagre, de Célie, de Silézie, et de Timante, dans les villes de Tulle et de Paphos (Paris, Etienne Loyson, 1664) de Jean Bridou

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