La menace qu’un amant exerce de se suicider par amour est un lieu commun de la littérature galante : voir, dans La Princesse d’Elide, « me percer le coeur ».
Le suicide est condamné dans la philosophie sceptique d’un La Mothe le Vayer :
La raison nous apprend qu’on ne se peut défaire soi-même sans exercer l’infâme métier de bourreau, et sans commettre un crime pire que le parricide ….
(La Mothe le Vayer, « de Zénon Cypriot et de la secte stoïque », De la Vertu des payens, Oeuvres, 1756, p. 220)